Chine

 

Nous allons donc observer comment la Chine a développé une approche révolutionnaire  sur l' adoption des OGM  en se focalisant  sur des OGM a faible importance alimentaire.

Situation actuelle au sujet des OGM en chine

 

La Chine est actuellement le 6 éme producteur mondiale d'OGM en cultivant essentiellement du coton bt, tomate, papaye et poivron. La chine a été de nombreuse fois critiquée pour sa mauvaise gérence des OGM et leurs diffusion incontrolée vers des pays avec des reglementations strictes contre les OGM telle la France. Comme de nombreux pays comme l'Inde, l'Afrique du sud ,la Chine a adopté en priorité le coton bt en 1996 pour pouvoir avoir un minimum de recul sur un OGM qui bien sur n'est pas consommé par la population.

Graphique ISSAA

 

La Chine est un pays qui veut atteindre l'autosuffisance alimentaire le plus tot possible, pour l'instant en Chine les OGM sont plutot en phase de test avec seulement des varietés telle la tomate,la papaye et le poivron qui ne vont pas nourrir les chinois. En effet la Chine se veut trés prudente sur l'implantation des deux véritable varietés qui pourront menés la chine au long terme à l'insuffisance alimentaire,il s'agit du mais bt et du riz bt(aliment de base de 65 % de la population un enjeu donc trés important ou l'erreur n'est pas permise). La recherche sur ses 2 varietés a commencé dés le début des biotechnologies en 1980 et se fait depuis intensivement en laboratoires et les variétés mise en place dans les cultures d'essais pourraient très bien etre commercialisés grace a des moyens considérables en 10 ans 2.3 milliards de dollars ont été investis dans la recherche dans le but de de devenir le leader de ce marché mais avec la pression international et les risques sur la santé, l'implantation reconnue et accepté par la communauté international prendra énormement de temps. En effet la Chine veut à tout pris éviter un nouveau scandale alimentaire commen en 2008 sur la lait pour les nourrisons et L'ISSAA surveille de très prés tout les protocoles des laboratoires et les test.

Mais en 2009 ave la recul de 14 ans et de nombreuses études favorables à l'utilisation des OGM si elle est controlé ce qui est loin d'etre le cas dans des pays telles l'inde et l'argentine ou l'utilisation des OGM se fait dans des mauvaises conditions et ou les paysans ou les producteurs ne suivent pas les normes d'utilisation. Cela crée donc des OGM unutile qui endette les agriculteurs.

La Chine s'est donc vu voir la permission de déposer par la communauté international deux autorisations d’innocuité biologique à deux PGM (mais et riz) qui ont ouvert la voie à un potentiel de développement important, sous réserve d’essais en champ pendant une durée de 2 à 3 ans.

Dans l'immédiat le rapport de L'ISSAA publié en 2009 préciser que les OGM occupait 134 millions de surfaces arables soit 9 % des terres et que la Chine grâce à des fonds de recherche très important est en phase de devenir le leader mondial des Biotechnologies.

 

Toutefois malgré ses donnés encouragante du deuxiéme plus gros producteur de mais au monde avec 30 millions d'hectares derriére les état unis. L'implantation des ses PGM et la croissance économique augmentera le niveau de vie des chinois qui vont de facto augmenter leur conssomation de viande qui va menés à une explosion d'elevages nourris au mais OGM. Ce nouveau type de mais enrichit en phytase(calytaseur biologique) va donc faciliter la digestion du phosphate pour las annimaux d'elevages nourris au mais OGM qui va se retrouver dans les extréments de ces annimaux et va entrainer une surdose de nutriments dans l'anvironnement. Entrainant une eutrophisaition des milieux aquatiques entrainant des marrées vertes.

Malgré la faite que du riz chinois génétiquement modifié a été découvert en France en 2009. Vendu sans autorisation dans les supermarchés du XIIIème arrondissement de Paris. Preuve d’une diffusion incontrôlée, voir illégale des OGM chinois par delà les frontières. On retrouve ainsi ces graines chinoises dans toute l’Afrique, notamment via Long Ping High Tech, l’un des principaux semenciers chinois très implanté sur le continent africain. Difficile donc de croire que ce riz OGM ne se retrouve pas également dans les bols des Chinois. « Les règles en Chine sont beaucoup plus souples qu'en Europe, explique un ingénieur agronome Français qui suit ce dossier auprès de l’Ambassade de France à Pékin. Si en France, les travaux sur les OGM sont très encadrés, ce n’est pas le cas en Chine ».« Le Comité d’éthique de Pékin ne s’embarrasse pas de la pression de l’opinion publique, s’agace-t-il. La multiplicité des acteurs et des contrôles relâchés produisent des résultats hasardeux. Le pays n’a pas le recul nécessaire pour juger de la non toxicité de tel ou tel OGM ». Mais ça ne l’empêche pas d’avancer. Sous la pression notamment des industriels.